L’épilation définitive et la vision de l’Awra entre femmes

Question :Je suis très brune et blanche de peau. Je suis asthmatique et j’ai le SOPK, qui est un trouble hormonal qui cause dans mon cas une pilosité excessive. Cela me bloque pour passer le cap du mariage, car toutes les méthodes d’épilation ont de gros inconvénients qui font que ma peau n’est jamais nette. De plus, j’ai du mal à retirer les poils de certaines zones qui me sont difficilement accessibles. Je voudrais faire des séances d’épilation définitive au niveau des aisselles, demi-jambes et de toute ma zone intime. Ceci uniquement pour être à l’aise dans le mariage et plaire à mon futur époux, incha’Allah. Cela implique qu’une femme verra ma Awra. Est-ce permis ? Barakallahu fiki ustadha. Réponse :  Oustadha : Je ne sais pas si la sœur pourrait nous donner plus de détails, ce serait mieux. Normalement, il n’est pas permis de montrer ses parties intimes, ni entre femmes ni entre hommes. On ne peut pas voir les parties intimes d’une femme, même entre femmes, sans nécessité. Pour l’épilation, elle est permise. Mais ce qui n’est pas permis, c’est de montrer son awra (partie intime). On peut montrer ses parties intimes dans des cas particuliers, quand il y a une nécessité. Par exemple, si j’ai besoin de soins pour une maladie, c’est une nécessité et il est permis de montrer mes parties intimes à un médecin. Mais pour l’épilation, elle est permise, c’est l’action de montrer ses parties intimes qui n’est pas permise dans notre religion. Si la sœur donne plus de détails, on verra si cela constitue une nécessité. S’il n’y a pas de nécessité, ce n’est pas permis. L’interlocutrice : Il y a une sœur qui demande si l’épilation définitive au laser est permise ? Oustadha : Je crois que c’est permis, à condition que cela ne cause aucun mal à notre corps. L’épilation au laser peut être dangereuse et entraîner un risque de cancer, par exemple. C’est pour ça que les savants disent toujours qu’il ne faut pas faire quelque chose qui causerait du mal à notre corps. Je vais donner un autre exemple : la pilule. Pendant le mois de Ramadan, il est permis de prendre la pilule. L’interlocutrice : Et est-ce qu’il n’y a pas de mal ? Oustadha : S’il n’y a pas de mal, tu peux la prendre. Il faut se renseigner sur la méthode. Mais avec le laser, je crois qu’il peut y avoir des dégâts. Il y a un risque pour le corps. C’est pour cela que le cas du SOPK (Syndrome des Ovaires Polykystiques) ne rentre pas dans la nécessité. Le problème, c’est que les poils sont un effet secondaire de la maladie, mais ce n’est pas la maladie en soi. Ce sont les hormones. Enlever les poils ne va pas la guérir du SOPK. L’interlocutrice : Je suis déjà malade. Oui, voilà. Hormonale. Pardon, je suis malade, hormonale. Oustadha : Mais on a dit que l’épilation est permise. L’interlocutrice : Mais est-ce qu’il est permis qu’une femme voie mes parties intimes ? Oustadha : Non, on a dit que ce n’est pas permis tant que ce n’est pas une nécessité. L’interlocutrice : Est-ce qu’on peut rappeler ce qu’est l’awra entre femmes ? Oustadha : Oui, l’awra, oui. Jusque là, on a dit… L’interlocutrice : Je ne sais pas ce que vous dites. C’est l’épaule ? Oustadha : L’‘awra correspond à la partie du corps qui doit être couverte même devant d’autres femmes. Pour les bras, c’est à partir du haut du bras, en dessous de l’épaule — comme la manche d’un t-shirt. Interlocutrice : Ah, donc c’est comme un t-shirt ? Oustadha : Oui, exactement. Dans certaines cultures, on portait un accessoire appelé dumlut, comme un bracelet, qui s’arrêtait au milieu du bras. Mais la partie au-dessus de cette limite, comme un débardeur, ne doit pas être découverte. Interlocutrice : D’accord, je comprends. Et pour les jambes ? Oustadha : C’est similaire : on couvre jusqu’au genou au minimum. Comme on ne porterait pas de mini-jupe qui découvre les genoux C’est permis. On peut montrer à partir d’en dessous du genou. L’interlocutrice : Oui, en dessous. Oustadha : Donc, par exemple, un tee-shirt qui arrive en dessous du genou, c’est autorisé. Il y a cependant deux avis à ce sujet, même entre femmes de la même famille. L’un des avis — minoritaire — considère que la ‘awra de la femme devant d’autres femmes est comme celle de l’homme : c’est-à-dire de la poitrine jusqu’au genou. Mais ce n’est pas l’avis que je suis. L’interlocutrice : Oui, c’est un avis minoritaire. Oustadha : Exactement. L’avis que je privilégie, c’est qu’il faut couvrir au moins du cou jusqu’en dessous du genou. Et il faut aussi veiller à cacher ses formes, même devant les maharim (hommes de la famille devant lesquels on peut normalement découvrir une partie). L’interlocutrice : Devant les maharim, oui. Oustadha : Oui, et c’est pareil devant les femmes non musulmanes : on doit rester pudique. Ce n’est pas parce qu’un vêtement descend jusqu’aux genoux qu’on peut le porter moulant. L’interlocutrice : Non, ce n’est pas moulant. Il faut que ce soit un peu large. Oustadha : Oui, même devant les maharim, que ce soit devant nos parents ou nos cousins, il ne faut pas porter des robes ou des t-shirts ajustés ou moulants. Ce type de vêtements est permis uniquement entre le mari et l’épouse, mais pas devant les autres. L’interlocutrice : Une question — je sais que vous y avez déjà répondu, mais j’ai oublié : à partir de quel âge doit-on vraiment faire attention à la ‘awra devant nos propres enfants ? Oustadha : En général, dès 7 ou 8 ans, quand l’enfant commence à bien comprendre. C’est un âge où il perçoit beaucoup de choses. L’interlocutrice : Et par rapport à la femme… Par exemple, si demain je vais à la piscine avec mes enfants — une piscine privée bien sûr — je ne peux pas me mettre en maillot de

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L’Éducation des Enfants Face au Mensonge et à la Tricherie

Question : Assalamu alaikum wa rahmatullahi wa barakatuh. Qu’Allah vous soit bénéfique et vous récompense grandement ici-bas et dans l’au-delà. Nous sommes très heureuses de vous retrouver, vous nous avez beaucoup manqué. Ma question concerne l’éducation des enfants. Comment devons-nous réagir lorsque nos enfants nous mentent, trichent, font semblant de faire leurs ablutions ou de prier, alors qu’ils ont atteint l’âge de raison ? Est-ce un adulte ? Un enfant plus âgé ? Pas un bébé. L’âge de raison se situe, je pense, au-dessus de 10 ans. Pas encore un bébé. Réponse :  Oustadha : Concernant l’éducation des enfants, la première chose est que celle-ci se fait toujours en accord avec le comportement des parents. La première étape dans l’éducation d’un enfant est de lui enseigner le tawhid, sa religion et sa croyance en Allah. La deuxième chose, c’est le comportement des parents. Si les parents ont la connaissance, ils peuvent enseigner beaucoup de choses à leurs enfants : le bon comportement, mais surtout le tawhid, car c’est la base de l’éducation. Pensez au Prophète (que la paix et les bénédictions d’Allah soient sur lui) qui a demandé à une petite fille : « Où est Allah ? ». Elle a répondu : « Au ciel ». Le Prophète a alors dit : « Affranchis-la, car elle est croyante ». Cela signifie que la première chose qu’il enseignait aux enfants était la connaissance d’Allah afin de L’aimer. Les parents doivent donc connaître et enseigner le tawhid, sans quoi nous ne pourrons pas transmettre de grandes choses à nos enfants. C’est la base du bon comportement. Dans les quarante hadiths, un hadith du Prophète (que la paix et les bénédictions d’Allah soient sur lui) s’adressait à un enfant d’environ dix ans. La première chose qu’il lui a enseignée était le tawhid. Il lui a dit : « Si tu préserves Allah » – c’est-à-dire si tu pratiques ta religion, que tu accomplis les obligations et délaisses les péchés – « Il te protégera ». C’est lorsque nos enfants adoptent le tawhid qu’Allah les protège. Ce hadith leur apprend également qu’Allah est toujours avec eux, Il sait ce qu’ils font. Cela permet à l’enfant de connaître Allah. Enfin, le Prophète lui dit que lorsqu’il a quelque chose à demander, il doit le demander à Allah. C’est le tawhid, et c’est ainsi que l’enfant est éduqué. Ce hadith a une grande importance, et il est essentiel de l’apprendre et de connaître son explication. Quand on dit qu’Allah est toujours avec toi, il est important de souligner que ce n’est pas dans le sens où certaines sectes l’entendent, en disant qu’Allah est partout, qu’Il peut être à côté de nous ou même en face de nous. Non, Il est avec Sa science. Il est omnipotent et omniscient, ce qui signifie que de là où Il est, Il voit et entend tout par Sa science. Il est avec toi par Sa science, mais Il n’est pas présent physiquement. Ce n’est pas comme le hulul (l’incarnation divine). L’interlocutrice : D’autres sectes disent qu’Il est avec nous en tout lieu… Oustadha : Voilà, c’est juste une précision. Nous disons qu’Il est avec Sa science. C’est ainsi qu’il a enseigné au jeune enfant, c’est ainsi qu’il l’a lié à Allah. Cela signifie que lorsque nous enseignons le tawhid aux enfants, il est ensuite plus facile de leur apprendre la salat, de leur enseigner beaucoup de choses, les obligations qu’ils doivent accomplir. C’est facile parce qu’ils aiment Allah, ils savent qu’Allah existe, ils ont le tawhid. La deuxième chose importante est le comportement des parents. Si la mère ne ment pas, automatiquement, l’enfant ne mentira pas. On lui dit que celui qui mentira ira en enfer. Si nous enseignons ce hadith aux jeunes enfants, ils ne mentiront jamais, car ils auront peur de l’enfer. De même, lorsque la mère accomplit la salat à ses heures, l’enfant l’imitera. Nous disons que nous éduquons nos enfants par notre comportement. C’est la meilleure méthode d’éducation. Cela s’appelle Ta’lim bil Qudwa : éduquer par l’exemple. Et c’est la meilleure façon pour que les enfants suivent le bon chemin. Lorsqu’ils trichent, nous devons toujours leur faire des rappels, soit en les encourageant, soit en les punissant. Par exemple, en les privant de sorties ou de choses qu’ils aiment. Il y a de nombreuses punitions que l’on peut appliquer à un enfant. Mais en même temps, il faut que l’enfant apprenne la crainte d’Allah, qui le dissuadera de nous mentir. Je vais donner un exemple. J’avais une petite fille qui devait réviser le Hizb (une partie du Coran). Alors, subhanAllah, je lui ai dit de lire une certaine sourate. Ensuite, je lui ai demandé si elle avait révisé le Hizb, et elle a répondu que oui. Je lui ai fait confiance et lui ai demandé de lire cette sourate. Moi, je savais qu’elle n’avait pas révisé, mais j’ai laissé passer. Après sa révision, elle n’avait effectivement pas révisé. Mais je n’avais rien dit. SubhanAllah, la petite est partie, et après trois, cinq minutes, elle m’a écrit une petite lettre, un message. Elle m’a dit : « Pardonne-moi, Lima, j’ai menti. » Je n’avais rien dit, subhanAllah. C’est parce qu’elle avait intégré le tawhid. On lui dit toujours : « Moi, je ne te vois pas, mais Lui, Il te voit. Moi, je ne suis pas là, mais Allah Azza wa Jall est avec toi. Si tu fais cela, Allah Azza wa Jall te donnera beaucoup de choses. Au paradis, tu trouveras tout ce que tu aimes. » L’interlocutrice : Quel âge avait cette petite fille ? Oustadha : Sept ans et demi. Elle avait la conscience de se dire… Oui, si vous parlez d’Allah Azza wa Jall à vos enfants, ils comprennent très bien. Elle m’a dit qu’elle avait menti et demandait pardon. L’interlocutrice : Pourquoi ? Oustadha : Parce qu’on avait dit aux enfants : « Moi, je ne te vois pas, mais Allah te voit. Si tu fais le bien, tu auras

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L’association dans l’achat d’un bien immobilier et le droit de retrait

Question : J’ai acheté un appartement en Algérie par facilité. Je n’arrivais plus à payer les mensualités et ma sœur s’est proposée de s’associer avec moi et de régler l’autre moitié. Quelques mois plus tard, mon conjoint lui a proposé de lui rendre son argent pour que l’appartement soit à nous, dans le but d’y vivre avec mes enfants. Mais ma sœur a refusé son offre, prétextant une éventuelle plus-value, étant donné que je ne compte pas vendre cet appartement. Puis-je lui rendre la somme qu’elle a versée ? Suis-je dans mon droit vis-à-vis d’Allah Azza wa Jal ? Ou est-ce une injustice ? Cet appartement n’était pas terminé et les papiers sont à mon nom. Je voudrais savoir quelle est la solution la plus adéquate à cette situation, car je compte y vivre avec mes enfants et elle, elle y voit un investissement. Réponse :  L’interlocutrice (précision) : La femme a acheté l’appartement. Elle est la première personne à l’avoir acheté, seule, au début. Oustadha : La première personne ? L’interlocutrice : Oui, la première personne. Mais à un moment donné, elle n’avait plus d’argent. Alors sa sœur lui a dit : « Si tu veux, on achète l’appartement toutes les deux. » Oustadha : Elle n’a pas dit qu’elle lui prêtait de l’argent. L’interlocutrice : Non, elle n’a pas dit qu’elle lui prêtait. C’est une association. C’est presque… Normalement, c’est moitié-moitié. Je ne sais pas comment elles se sont arrangées. Mais du coup, maintenant, le mari de la sœur, de la première personne, il dit : « Moi, je rends l’argent à ta sœur. Comme ça, l’appartement, il est à nous. Il n’est plus à ta sœur. » Et la sœur, elle ne veut pas. Parce qu’elle était associée. Voilà. Oustadha : Elle était associée. L’interlocutrice : Les papiers étaient au nom de la première sœur. Oustadha : Oui, les papiers. Parce qu’ici, en Algérie, c’est compliqué de mettre plusieurs noms sur les papiers. Donc, au niveau des papiers, c’est sa maison. Mais elles ont fait un contrat entre elles. Ce n’est pas un contrat papier, mais un accord. Elle a accepté cela aussi. Cet accord est valide devant Allah Azza wa Jall, même s’il n’y a pas de papier. S’il y a un contrat où elles sont associées, elle a le droit d’habiter dans cette maison. Sauf si elle te dit : « Ça y est, je laisse tomber, tu me rends mon argent.«  L’interlocutrice : Oui, mais elle ne veut pas. Oustadha : Elle a le droit de rester dans cette maison. C’est parce qu’on ne lui a pas prêté l’argent. Si c’était un prêt, on aurait dit : « Je te rends l’argent », et elle serait obligée de partir. Mais elle est associée, donc il y a un contrat entre elles. C’est juste que la première… elle ne lui demande pas de partir gentiment. Elle lui rembourse l’argent pour qu’elle sorte de la maison, car elles n’ont pas le même but. La première veut y vivre. L’interlocutrice : Peut-être qu’elle y habite déjà. En tout cas, la première sœur veut s’installer dedans avec son mari et ses enfants, alors que la deuxième dit que c’est un investissement. Elle ne veut pas y vivre. C’est pour ça qu’elle pense peut-être qu’elle va gagner plus d’argent que la partie qu’elle a mise. C’est vrai, en Algérie, c’est comme ça. Au début, on achète 40 000 et on peut revendre 60 000. Peut-être qu’elle refuse pour cette raison. Oustadha : Dans ce cas, l’associée ne peut pas être remboursée si la sœur ne le veut pas. Il faut que la sœur accepte. C’est son droit. Pour l’une, c’est un appartement pour y vivre. Pour l’autre, c’est un investissement. L’interlocutrice : Oui, oui. Oustadha : C’est un peu comme vendre sa partie. L’interlocutrice : Oui, oui, oui.Oustadha : Il faudrait que le mari donne peut-être plus d’argent, ce serait de l’injustice envers la deuxième sœur. C’est son droit, ma chère. On ne peut pas dire autre chose. Il y a un droit pour elle dans cette maison. Il y a un droit dans cette maison, ma sœur.

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Tu n’es qu’un serviteur !

Rappel religieux : وَأَمَّا العُبُودِيَّةُ، فَأَنتَ عَبدٌ لِلَّهِ، شِئتَ أَم أَبَيتَ. مَا الَّذِي تَستَطِيعُهُ؟ أَنتَ لَا تَستَطِيعُ أَنْ تَصحُوَ وَلَا أَن تَنَامَ. لَا تَسْتَطِيعُ أَن تَظَلَّ مُمسِكًا عَنِ الطَّعَامِ وَالشَّرَابِ. جَرِّبْ! لَا تَسْتَطِيعُ أَن تَقُومَ مِن غَيرِ أَنْ تَقعُدَ أَو تَنَامَ. لَا يُمْكِنُ! مَا الَّذِي تَمْلِكُهُ؟ أَنتَ لَا تَملِكُ لِنَفسِكَ نَفعًا وَلَا ضَرًّا، وَلَا مَوتًا وَلَا حَيَاةً وَلَا نُشُورًا. فَاتَّقِ اللَّهَ رَبَّكَ، وَإِيَّاكَ أَن تَظُنَّ أَنَّكَ سَتَنعَتِقُ يَومًا مِن أَسرِ العُبُودِيَّةِ، وَلَكِن كُن عَابِدًا مِن عِبَادِ الرَّحمَنِ الَّذِينَ يُحِبُّهُمُ اللَّهُ رَبُّ العَالَمِينَ. Traduction française fidèle : Quant à la servitude, sache que tu es serviteur d’Allah, que tu le veuilles ou non. Que peux-tu réellement faire par toi-même ? Tu ne peux ni te réveiller ni dormir [sans Sa permission]. Tu ne peux pas t’abstenir indéfiniment de manger ou de boire. Essaie ! Tu ne peux pas rester debout sans t’asseoir ou sans dormir. Ce n’est pas possible. Qu’est-ce que tu possèdes vraiment ? Tu ne détiens pour toi-même ni bien, ni mal, ni mort, ni vie, ni résurrection. Crains donc Allah ton Seigneur, et ne t’imagine jamais que tu pourras un jour t’affranchir de l’état de servitude. Sois plutôt un adorateur parmi les serviteurs du Tout-Miséricordieux, ceux qu’Allah, le Seigneur des mondes, aime. Résumé IA des points à retenir : Auteur de la fatawa et lien de la vidéo  : Auteur de la fatawa : Cheikh Saïd Raslân حفظه الله  Lien de la vidéo : https://t.me/unrappel_pourtous/3374

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La mère est l’ornement du foyer

Rappel religieux : وَإِنَّ الأُمَّ، مَهمَا كَانَ حَالُهَا، زِينَةُ حَيَاةِ الابنِ وَالِابنَةِ. الوَالِدَةُ فِي البَيتِ زِينَةُ البَيتِ. إِذَا دَخَلتَ البَيْتَ فَسَمِعتَ صَوتَهَا، يَنشَرِحُ صَدرُكَ وَتَسكُنُ نَفسُكَ. الوَالِدَةُ زِينَةُ حَيَاةِ الابنِ وَالِابنَةِ، وَلَا يَعرِفُ قَدرَ هَذِهِ الزِينَةِ إِلَّا مَن فَقَدَهَا. رَحِمَ اللَّهُ مَن مَاتَ مِن آبَائِنَا وَأُمَّهَاتِنَا، وَبَارَكَ فِي مَن بَقِيَ مِنهُمْ. Traduction française fidèle : La mère, peu importe sa condition, reste l’ornement de la vie du fils et de la fille. Dans la maison, la mère est l’ornement du foyer. Quand tu rentres chez toi et que tu entends sa voix, ta poitrine s’élargit, ton âme s’apaise. La mère est l’ornement de la vie des enfants, et ne connaît la valeur de cet ornement que celui qui l’a perdu. Qu’Allah fasse miséricorde à ceux qui sont décédés parmi nos pères et mères, et qu’Il bénisse ceux qui sont encore en vie. Résumé IA des points à retenir : Auteur de la fatawa et lien de la vidéo : Auteur de la fatawa : Cheikh Soulayman Ar Rouhayli حفظه الله  Lien de la vidéo: https://t.me/c/2130667833/2760

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Les conséquences de tes péchés sur ta famille

Rappel religieux : قَالَ السَّلَفُ: « إِذَا رَأَيتَ فِي وَلَدِكَ مَا تَكرَهُ، فَاعلَمْ أَنَّكَ المَقصُودُ. فَأَحدِث لِلَّهِ تَوبَةً. » وَكَمَا قَالَ أَبُو مُسلِمٍ الخَولَانِيُّ رَحِمَهُ اللَّهُ: « إِنِّي لَأَعصِي اللَّهَ، فَأَجِدُ ذَلِكَ فِي خُلُقِ دَابَّتِي وَامرَأَتِي. » فَإِذَا وَجَدْتَ فِي خُلُقِ الدَّابَّةِ مَا تَكرَهُ، فَبِمَعصِيَتِكَ. وَإِذَا وَجَدتَ فِي خُلُقِ المَرأَةِ مَا تَكْرَهُ، فَبِمَعصِيَتِكَ. وَإِذَا وَجَدتَ فِي خُلُقِ ابنِكَ مَا تَكرَهُ، فَهُوَ فَبِمَعصِيَتِكَ. فَأَحدِث لِلَّهِ تَوبَةً، وَاعلَمْ أَنَّكَ المَقصُودُ، لَيسَ هُوَ. Traduction française fidèle : Les pieux prédécesseurs ont dit : « Si tu aperçois chez ton enfant quelque chose qui te déplaît, sache que c’est toi qui es visé. Renouvelle donc ton repentir pour Allah. » Et comme Abou Mouslim Al Khawlânî, qu’Allah lui fasse miséricorde, a dit : « Il m’arrive de désobéir à Allah, et d’en ressentir les conséquences dans le comportement de ma monture et celui de mon épouse. » Ainsi, si tu remarques un mauvais comportement chez ta monture, c’est à cause de ta désobéissance. Si c’est chez ta femme, c’est à cause de ta désobéissance. Et si c’est chez ton enfant, c’est aussi à cause de ta désobéissance. Alors renouvelle ton repentir pour Allah, et sache que c’est toi qui es visé, pas eux. Résumé IA des points à retenir : Auteur de la fatawa et lien de la vidéo : Auteur de la fatawa : Cheikh Saïd Raslân حفظه الله  Lien de la vidéo : https://t.me/unrappel_pourtous/3363

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Le péché d’Iblîs et celui d’Adam

Rappel religieux : تَركُ الأَوَامِرِ أَعظَمُ عِنْدَ اللَّهِ مِنِ ارتِكَابِ المَنَاهِي. تَرْكُ الأَوَامِرِ هِيَ المَعصِيَةُ الَّتِي وَقَعَ فِيهَا إِبلِيسُ. وَارتِكَابُ المَنَاهِي هِيَ المَعصِيَةُ الَّتِي وَقَعَ فِيهَا آدَمُ عَلَيهِ السَّلَامُ. Traduction française fidèle : Le fait de délaisser les obligations [religieuses] est plus grave auprès d’Allah que de commettre des interdits. Car délaisser une obligation, c’est le péché dans lequel Iblîs est tombé. Tandis que la transgression d’un interdit, c’est le péché dans lequel est tombé Adam, que la paix soit sur lui. Résumé IA des points à retenir : Auteur de la fatawa et lien de la vidéo : Auteur de la fatawa : Cheikh ‘Abd Al Razzâq Al Badr حفظه الله  Lien de la vidéo : https://t.me/unrappel_pourtous/3361

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Un palmier t’est planté au Paradis chaque fois que tu prononces cette parole

Rappel religieux : قَالَ رَسُولُ اللهِ ﷺ: « مَن قَالَ: سُبحَانَ اللهِ العَظِيمِ وَبِحَمدِهِ، غُرِسَت لَهُ نَخلَةٌ فِي الجَنَّةِ. » Traduction française fidèle : Le Messager d’Allah ﷺ a dit : « Celui qui dit : Gloire et louange à Allah le Sublime, un palmier lui est planté au Paradis.«  Résumé IA des points à retenir : Auteur de la fatawa et lien de la vidéo : Auteur de la fatawa : Cheikh ‘Abd Al Razzâq Al Badr حفظه الله  Lien de la vidéo : https://t.me/unrappel_pourtous/3359

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La dernière recommandation du Prophète avant sa mort

Rappel religieux : النَّبِيُّ عَلَيهِ الصَّلَاةُ وَالسَّلَامُ، فِي آخِرِ أَيَّامِهِ، بَل وَهُوَ فِي سِيَاقِ المَوتِ، كَانَت وَصِيَّتُهُ: « الصَّلَاةَ، الصَّلَاةَ، وَمَا مَلَكَت أَيمَانُكُمْ. » فَكَانَ يُوصِي بِالصَّلَاةِ. وَقَبلَهَا أَيضًا، أَوصَى بِتَوحِيدِ اللَّهِ، وَحَذَّرَ مِنَ الشِّركِ. « وَمَا مَلَكَت أَيمَانُكُمْ » يَعنِي: كُلَّ مَن أَنْتَ مَسؤُولٌ عَنهُ. وَهَذَا هُوَ الرَّاجِحُ. الزَّوجَةُ، الأَوْلَادُ، حَتَّى الخَدَمُ. هَؤُلَاءِ كُلُّهمْ تَحتَ يَدِ الإِنسَانِ. هَذِهِ مِن آخِرِ وَصَايَا النَّبِيِّ ﷺ. Traduction française fidèle : Le Prophète ﷺ, durant ses tout derniers jours, et même alors qu’il était à l’agonie, recommandait : « La prière, la prière, et ceux que vos mains droites possèdent. » Il insistait donc sur la prière. Et avant cela, il avait également recommandé l’unicité d’Allah, et avait mis en garde contre le polythéisme. [Quant à l’expression] « et ceux que vos mains droites possèdent » elle signifie : tous ceux dont tu es responsable. C’est là l’avis prépondérant à ce sujet. Qu’il s’agisse de ton épouse, tes enfants, et même tes servants. Tous ceux-là sont sous la responsabilité de l’homme. Ces paroles furent parmi les dernières recommandations du Prophète ﷺ. Résumé IA des points à retenir : Auteur de la fatawa et lien de la vidéo : Auteur de la fatawa : Cheikh ‘Aziz Farhân Al ‘Anazi حفظه الله  Lien de la vidéo : https://t.me/unrappel_pourtous/3357

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Trois clés qui t’ouvriront les portes de la grâce d’Allah

Rappel religieux : إِذَا أَرَدتَ شَيْئًا فِي الدُّنْيَا، فَعَلَيكَ بِثَلَاثَةِ أُمُورٍ جَالِبَاتٍ، بِإِذنِ اللَّهِ، لِفَضْلِ اللَّهِ. الأَوَّلُ: الِاستِغْفَارُ. أَكثِرِ الِاسْتِغْفَارَ. تُرِيدُ وَظِيفَةً؟ تُرِيدُ مَالًا؟ تُرِيدُ وَلَدًا؟ تُرِيدُ أَن يَذهَبَ عَنكَ الِاكتِئَابُ؟ تُرِيدُ أَن يَذهَبَ عَنكَ الهَمُّ؟ أَكثِرِ الِاستِغفَارَ. وَالثَّانِي: الدُّعَاءُ. اجتَهِد فِي الدُّعَاءِ. وَالثَّالِثُ: العَمَلُ الصَّالِحُ. فَإِنَّكَ تُطعَمُ بِالعَمَلِ الصَّالِحِ نِعَمَ اللَّهِ فِي الدُّنيَا، وَتُجزَى بِهَا فِي الآخِرَةِ. Traduction française fidèle : Si tu veux obtenir quelque chose dans ce bas-monde, il te faut t’en remettre à trois choses par lesquelles tu obtiendras, par la permission d’Allah, les faveurs d’Allah. Résumé IA des points à retenir : Pour attirer la grâce d’Allah et obtenir ce que l’on désire dans cette vie, il faut s’appuyer sur trois piliers : Auteur de la fatawa et lien de la vidéo : Auteur de la fatawa : Cheikh Soulayman Ar Rouhayli حفظه الله Lien de la vidéo : https://t.me/unrappel_pourtous/3355

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